de pajx ; elle ordonna, de plus que cette Affemblée fo forait pur feûions, voulant éviter par-la la multitude & l'affiuence de ces hommes lans aveu & tuibulens, qui ne le mtle.it de fa chofe publique que pour l'expofor au défordre ; mais cette difpofition fct, auffitot détruite par un arrêté de l'Affemblée provinciale qui ordonna une Affemblée. de paroiffe en un feul & même heu Ce conflit d autorité fur un objet qui n étoit ras du reffort de Ion adm.mitration n'a jamais pau qu'un jeu & un liait de Plus a ta noire trahifon dont on vouloit écarter les moindres loupçons, jufquau moment où elle devoit éclater. Il y avoit donc un complot «*** les confpirateurs feuls con- certo.ent avec le plus grand, fecret, & dont il étoit difficile de prévoir les fuites, en combinant même les forces eue les traîtres pouvoicu employer Les troupes de ligne des deux bataillons dAitois de Normandie, & le Corps-Royal d'Artillerie, ne p*, ro.flo.ent pas avoir embntfié le. parti de l'eppofition. Le bruit ouroit qu elles „ç voulaient point fo melcVdes querelles des citoyens. Quoi qu'il en foit, MM. les officiers de l'armée des citoyens de couleur, leur envoyèrent une deputation pour les E^vRvS fHk *?«*P: en exécution5 M V11 * Vl11 ,du '/alte de Pa« J & Pour leur rappeler aufli qu ils avoient prêté ferment , de le laiffer exécuter ,» out point. Les foldats fe gardc,ent'bien de répondre défW Jen.e,it a cette deputation ; plufieurs même Contre eux elTelt lair dy applaudjr avec fincérité. £ Il n'en étoit pas de même de. la compagnie des canonniers delà garde national commandée p,r Pralotto, fornommé le Mal-pagne ; elle s'exerçoit jouraellement à tirer k canon* elle faifo.it des préparatifs dont plufieurs citoyens étoknt t4°S Tfoi^en,1** pas effrayé 'on **>***« b»*525ïï£à la fuite Compagne £ blotto, & de leRemboure maire de la ville, alloien fouvcnt ¦—- ¦SrUmi «oofnUà \ corama,ldar ^'"éral <*= If gardt „,tion,!e du Port- t;,l a ' P • a la ""W'cpal'K, un moment après h malWreufe %f- fc£ f Cai, ""'" • ,1«e »°is blancs ver.oient d'être affafil és par de" gens de couleur, & la requit "de joindre les forces des t,oup"de W ÏL2&FT?** 'a "xniciPaIité 'e1«».àfon tour M d'e SaulHÔÏ tPmmandant, dfe faire marcher les bataillons contre les mulâtres. '¦> 1 E