( 220 ) (i8oS) tronpe aim trois colonnes, et marcha vers le grand bourg i riais l'habitation Laurent, dans l'espoir d'eri- lever le fort. Mais les Anglais, qu'on croyait dé- munis, y avaient ajouté des fortifications armées de Canons, environnées d'une forte palissade^ et, outre-3oo hommes qui le défendaient, nne frégate, emnossée à uup portée de fusil, y avait envoyé ïo6 marins. L'attaque commença à nne heure; elle fut* vive-** le^ Anglais la reçurent à bout portant; leurs avant-postes repoussés perdirent un adjudant et iô prisonniers ; mais l'artillerie du fort et de la frégate* arrêta, les Français» Sans canons pour forcer le pas- sage des palissades-, ils-s'embitsquèrent dans les mai- sons di\ bourg i et continuèrent le feu jusqu'à 3 heures £6 demie f 5oo Anglais, débarqués du vais- seau et de la corvette», se portant contre le bourg, le colonel se retira sur l'habitation Bozredon, où il avait déposé ses munitions, et prit position, le soir, en airrièro de-l'habitation Vatter, où nne trentaine d'habitans vinrent le joindre. La nuit et le jour suivant; l'ennemi le harcela, et l'obligea à se retirer" sur l'habitation Ducansse. Malgré les proclamations etles efforts'des Anglais., beaucoup d'habitans vin-* rent y le a» et le 2*5^ se réunir aux 112 soldats fran<- çaî&i, i6t le nombre des assaillans fut de 44^* Le 27 au matin y On apperçut 5 vaisseaux, 5 frégates et 8 corvettes on hriks anglais ; après des affaires de postes<, le colonel se retira en arrière de l'habitation Romain. U attaqua l'ennemi le- lendemain- ^ mai* sani succès, ef reçut le renfort d'un capitaine et