le "Voy noXj Rois & leurs enfans Ve leurs ennemis triomphons, Et nozjnagiflrats honorables Embrajjèr les chojês louables, Separans les boucs des agneaux, Ojler en France deux bandeaux, v4tt peuple celuy d'ignorance, o4 eux celuy de leur ardeur, Lors ton Hure a$4 bien plus d'heur En fa l>ie,quenfà naifjance. . ¦ A, MONSIEVR THEVET ANGOV-moiiîn, Autheur de laprcfcnte hiftoire, François deBelleforeftComingeois. ODE. E laboureur, quand il moi[p>nne \ Courbe par les champs l>ndoyans: Ou quand fur la fin de teutonne Contraint Jês bœufs (iapanthelans Deffoubs le iougfoubs l'atelidge) Recommencer le labourage, V Qui pourvoir puijje aux ans fuyuans: Nefesbahijl,quoy que lapene, * Que la rudefîè du labeur ; Caffentfin corps, ains dyne halene '< Forte, attend le temps,qui donneur D'années riches,luy remplijîe i Ses granges, & luy parfournifjè L'attente d'ynejheréheur. ^4infi ta plume qui nom chante \ Les meurs, les peuples du Leuant, Du pajïépoint nefe contente, Quoy quelle ait ejpandu le ")>ent i D'ynegloire immortali/ee, D'yne mémoire tternifèe,