( 4« ) mini, telles que lesBretagnes ordinaires , Laval, et toiles de Paris. En mouchoirs, on a les mouchoirs de Béarn, Rouen , Cholet, Sciumur et faux Madras , autre- ment dit, Pulliacat. Les vrais Madras viennent de l'Inde, et nous les avons soit par la voie de la Ja- maïque, qui appartient aux Anglais, et qu'ils trour- vent le moyen de nous introduire , soit par celle de la Nouvelle-Angleterre. ;, ; D'autnes objets de très-bon cours sont : Les percales de différentes qualités, tant pour chemises que pour robes et autres usages. Les mousselines. , . Les indiennes ou toiles peintes provenant des fabriques de Rouen, de Provence, Jouy et autres connues, auxquelles on peut ajouter toutes les mar- chandises de fabrique de Silésie. Quelques soieries dans les taffetas seulement, ne doivent pas être négligées. Les couleurs de choix sont le jaunes, le blanc, le bleu et le rose; les femmes en font un grand usage pour jupons soit de toilette, soit de dessous. ' _ -. Des bas de soie blancs de Paris, Lyon , Nîmes et Gange, mais en très-petite quantité. . Des bas de coton de diverses fabriques. Des bas de fil. ; On peut porter un petit assortiment d'objets de merceries de même que de coutelleries et clincail-