Letters of Francis Parkman to Pierre Margry 177 Pray pardon my troubling you in a matter which must be a somewhat trying addition to your other duties. At least there is the satisfaction in it that the result will be a great additional light thrown on very interesting passages of American History. Respectfully and truly yrs. Mon cher ami, Celle-ci est la copie d'une lettre que j'ai envoyee a M. Spofford par l'entremise de M. Hoar, senateur de Massachusetts au con-gres. La reponse est ci-incluse. II m'a envoye au meme temps une copie de sa lettre, addressee a vous 26 Mars. Vous l'aurez rec.ue, sans doute. II parle avec la plus grande confiance de vous et de vos travaux. II n'explique pas son long silence, mais, je crois, on n'aurait pas tort si on l'attribuait a des distractions politiques presque sans exemple parmi nous. II parait avoir envoye a vous et a M. M. Bossange toutes les autorisations requises. Apres tout le denouement n'est pas si mal. Plutot que de voir cette affaire en danger d'echouer, j'irais moi meme a Washington pour l'ap-puyer aupres de M. Howe et le comite. Tout a vous de coeur F. Parkman to Spofford (Leaf 265) 50 Chestnut St. Boston, 22 Mar. 1877. Mon cher ami, Voici la copie d'une lettre que je viens d'ecrire a M. Spofford.* Dear Sir, Not long ago I received indirectly an intimation from Mr. Harrisse that there were, or might be, doubts as to the authenticity of some of M. Margry's documents. So far as concerns the first volume I knew that such doubts were unfounded, since with two or three unimportant exceptions, * Note in pencil at top of 1st sheet.