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Vendredi 26 septembre 2008

 


Actualité est une archive qui met à votre disposition les textes marquants de la politique étrangère américaine, en français et en version intégrale. De nouveaux textes s'y ajoutent régulièrement. 

Bien entendu, nous ne pouvons traduire chaque texte -- discours, entretien, rapport, transcription -- du gouvernement américain. Les textes sont donc choisis en fonction de leur pertinence pour le public belge.

Un panorama complet de la politique étrangère des États-Unis est disponible en anglais sur ce site. Vous pouvez retrouver un texte spécifique en cliquant le nom d'un dossier dans l'index, ou encore en utilisant notre moteur de recherche.

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Actualité: les textes marquants de la politique étrangère en français - 2008
Secretary Rice briefs on The State Department's 2006 Country Reports on Human Rights Practices.  State Department photo by Michael Gross

Secretary Rice briefs on The State Department's 2006 Country Reports on Human Rights Practices. State Department photo by Michael Gross

Afghanistan | Afrique | Antisémitisme | Balkans | Biotechnologie | Changement climatique | Chine | Corée du Nord | Cour pénale internationale |Cuba | Défense | Démocratie | Détenus | Développement | Discours sur l'Etat de l'Union | Droits de l'Homme | Économie et Commerce | Elections 2008 | Énergie et environnement | État de l'Union | G-8 | Grippe Aviaire | Guantanamo | Immigration | Irak | Iran | Islam aux Etats-Unis | IT | Katrina | Liberté de la PresseLiberté religieuse | Libye | Loterie de visas | Médias | Moyen-Orient | Les Nations Unies | 11 septembre | OSCE | OTAN | Peine de mort | Plan Marshall | Politique domestique | Politique étrangère | Primauté du Droit | Protection des ConsommateursRelations Europe - USA | Russie | Sécurité Intérieure | SIDA | La Société américaine | Terrorisme et Sécurité | Traite des Personnes | UNESCO | Vieillissement des Populations ---  Archives 2004 -- Archives 2005 -- Archives 2006 -- Archives 2007

Afghanistan

arrow Les enjeux de l'OTAN en Afghanistan sont importants (25 janvier 2008).  Il est nécessaire que la communauté internationale, notamment l'OTAN, apporte une contribution importante pour faciliter la progression de l'Afghanistan sur la voie qui lui permettra de réaliser les objectifs prévus. La coalition des forces des États-Unis, de l'OTAN et de l'Afghanistan œuvrent avec diligence pour faire face aux talibans et pour assurer la sécurité tout en encourageant des changements dans des domaines allant de l'enseignement à la lutte contre la corruption. Les forces de la coalition et leurs partenaires non gouvernementaux sont conscients du fait que la réussite en Afghanistan exige aussi bien la sécurité que le développement et la bonne gouvernance. Leur grand objectif est de faire en sorte que ce pays puisse se prendre en charge et qu'il ait un gouvernement représentatif. C'est pourquoi le sommet de l'OTAN qui doit avoir lieu en Roumanie en avril comprendra une réunion élargie qui portera sur les progrès enregistrés en Afghanistan, sur les moyens d'y faire face aux problèmes et sur les objectifs à y atteindre en 2013.

Afrique

arrow Génocide rwandais : la relance du programme des É.-U. « Récompenses pour la justice » (13 mai 2008). Afin de favoriser le rétablissement de la paix dans la région des Grands Lacs en Afrique, les États-Unis ont décidé de reprendre leurs efforts visant à faire traduire en justice les personnes qui sont accusées d'être responsables du génocide de 1994 au Rwanda et qui sont encore en fuite, en relançant le programme de lutte contre les crimes de guerre intitulé « Récompenses pour la justice » (Rewards for Justice). La secrétaire d'État adjointe aux affaires africaines, Mme Jendayi Frazer, a fait état de ce programme lors d'une conférence de presse organisée le 12 mai au département d'État. Elle était accompagnée de l'ambassadeur extraordinaire chargé du dossier des crimes de guerre, M. Clint Williamson. Le programme « Récompenses pour la justice », a-t-elle dit, constitue « un instrument utile » que les États-Unis ont utilisé en vue d'encourager la cessation des hostilités dans la région des Grands Lacs ainsi que l'application des processus de paix de Lusaka, de Sun City et de Pretoria.

arrow Condoleezza Rice : il n'y a plus d'excuse pour atermoyer au Kénya (26 février 2008).  Alors que, au Kénya, on est toujours dans l'impasse et que la violence menace de reprendre, les États-Unis se joignent à la communauté internationale et aux Kényans afin d'exhorter le président Mwaï Kibaki et son adversaire politique Raïla Odinga à tenir leur promesse de conclure un accord de partage du pouvoir. « Je suis déçue du manque de volonté nécessaire au règlement des questions en suspens », a déclaré la secrétaire d'État Condoleezza Rice, le 26 février. « Il n'y a plus d'excuse pour atermoyer. La violence est inexcusable, et ceux qui s'y livrent doivent rendre des comptes. »

arrow Bush exhorte le Congrès à doubler l'aide à l'Afrique (26 février 2008).  Depuis son arrivée au pouvoir en 2001, le gouvernement Bush a doublé l'aide des États-Unis à l'Afrique, une action considérée comme la plus grande entreprise de développement mise en œuvre depuis la reconstruction de l'Europe de l'après-guerre dans le cadre du Plan Marshall. Mais le président Bush aimerait voir l'aide des États-Unis à l'Afrique doubler de nouveau avant son départ de la Maison-Blanche. « Le Congrès doit concrétiser l'engagement de l'Afrique en finançant complètement et rapidement nos programmes de développement, et les candidats des deux partis à l'élection présidentielle devraient clairement signifier que l'Afrique demeurera une priorité pour le gouvernement des États-Unis », a déclaré le président Bush lors d'un discours prononcé le 26 février, alors qu'il venait de boucler une tournée de cinq pays africains.

arrow Le nouveau commandement militaire des É.-U. répond aux requêtes des Africains (25 février 2008).  Le responsable du nouveau Commandement militaire des États-Unis en Afrique (Africom) s'est déjà rendu dans 30 pays du continent afin d'écouter ce que les dirigeants concernés ont à dire sur la façon dont les États-Unis peuvent appuyer les efforts qu'ils déploient en faveur de la stabilité et de la prospérité. Et ils ont surtout demandé aux États-Unis de les aider à déployer des systèmes de surveillance de leurs zones côtières, d'améliorer la sécurité maritime, de promouvoir un meilleur entretien du matériel et d'améliorer la logistique. L'Africom n'est pas là pour militariser le continent ou ses nations insulaires, a affirmé son commandant, le général William « Kip » Ward, lors d'une allocution prononcée au Royal United Services Institute de Londres. Ce commandement, tout comme ceux qui concernent l'Europe, le Moyen-Orient, le Pacifique et l'Amérique, a été créé pour coopérer avec les nations souveraines d'Afrique à l'appui d'objectifs communs.

arrow L'Afrique subit des transformations salutaires, affirme M. Bush (20 février 2008).  L'Afrique subit une transformation « tout à fait positive » depuis l'an 2000, a déclaré le président des États-Unis, M. George W. Bush, le 20 février, lors d'une conférence de presse donnée en compagnie du président du Ghana John Kufuor qui l'avait reçu dans sa demeure présidentielle. M. Bush a attribué cette évolution salutaire à l'action d'une nouvelle génération de dirigeants africains. « On a vu se régler des conflits (en Afrique), sans que les États-Unis aient tenté d'imposer leur volonté. Nous avons simplement essayé d'être un partenaire utile, comme au Congo oriental, par exemple, en collaborant avec les présidents du Rwanda, du Congo et du Burundi, en vue d'instaurer la paix dans cette région », a déclaré le président. | M. Bush réfute de fausses idées relatives à l'Africom

arrow M. Bush annonce plusieurs initiatives au Rwanda (18 février 2008)  Lors du troisième arrêt de sa tournée dans 5 pays africains, le président George W. Bush a annoncé une initiative en faveur de la formation de soldats au maintien de la paix au Darfour, signé un traité bilatéral d'investissement avec le Rwanda et déclaré aux Rwandais que le Corps de la paix enverrait de nouveau des volontaires dans leur pays pour la première fois depuis 1993. M. Bush a fait état de ces nouvelles à l'occasion de la conférence de presse qu'il a donnée avec le président de la République rwandaise, M. Paul Kagamé, à la suite de longs entretiens qui ont porté sur des questions relatives aussi bien au Rwanda qu'à d'autres pays africains, telles que le rétablissement de la paix au Darfour (Soudan) et dans la partie est du Congo.
| Les États-Unis au premier plan de la réaction mondiale à la crise au Darfour (18 février 2008). 

arrow Les Kényans doivent trouver une solution politique à la crise actuelle, dit Washington (29 janvier 2008) Le Kénya, qui compte près de 34 millions d'habitants, est un ami important des États-Unis et un médiateur important dans les conflits et dans les crises humanitaires frappant d'autres pays en Afrique. Selon de hauts responsables des États-Unis, il est essentiel que les dirigeants kényans trouvent le moyen de mettre fin aux troubles auxquels le pays est actuellement en proie. La secrétaire d'État, Mme Condoleezza Rice, a souligné la nécessité que tous les Kényans gardent leur sang-froid alors qu'on cherche une solution politique à la crise actuelle.

 

Antisémistisme

Balkans

arrow L'indépendance du Kosovo est une solution juste (22 février) Les États-Unis sont fiers de soutenir le nouvel État indépendant du Kosovo et considèrent cette indépendance comme l'étape finale « du long processus non consensuel de démantèlement de l'ancienne Yougoslavie ». « Le Kosovo mérite d'être indépendant », a déclaré le sous-secrétaire d'État Nicholas Burns, le 22 février, lors d'une discussion en ligne diffusée sur America.gov. « La Serbie a renoncé à tout droit sur le Kosovo lorsque, en 1998 et 1999, elle a attaqué, de façon brutale et injustifiée, la communauté albanaise de cette province. » Le 17 février dernier, le Kosovo a en effet déclaré son indépendance après avoir été administré pendant près d'une décennie par l'ONU dans la foulée d'une intervention de l'OTAN qui, en 1999, a mis fin à la violence subie par la majorité albanaise de l'ancienne province yougoslave

arrow Les États-Unis reconnaissent le Kosovo en tant qu'État indépendant (18 février) Les États-Unis ont accueilli avec satisfaction les engagements que le Kosovo avait pris dans sa déclaration d'indépendance pour ce qui est d'accepter un plan spécial d'application de l'ONU et d'adhérer au principe de la multi-ethnicité dans le cadre de la bonne gouvernance. Le Parlement du Kosovo a déclaré l'indépendance du pays le 17 février à Pristina. M. Bush a décidé d'établir des relations diplomatiques officielles entre les États-Unis et le Kosovo, a dit Mme Rice en ajoutant : « L'établissement de ces relations réaffirmera les liens particuliers d'amitié qui lient le peuple des États-Unis avec le Kosovo. » | M. Bush se félicite de l'indépendance du Kosovo |

Biotechnologie

Changement climatique

arrow L'ours polaire placé par les États-Unis sur la liste des espèces menacées (16 mai 2008). Une bataille menée de l'Arctique jusqu'au tribunal a fini par pousser Dick Kempthorne, ministre des affaires intérieures et des domaines, à suivre les recommandations du service fédéral des eaux et forêts (Fish and Wildlife Service, USFWS) et des écologistes pour placer l'ours polaire sur la liste des espèces menacées. Citant des preuves probantes de la fonte continue de la calotte glaciaire et de son incidence néfaste sur l'habitat de l'ours, exposées en détail dans des études récentes réalisées par le service géologique des États-Unis (USGS), M. Kempthorne a reconnu la situation précaire de l'ours polaire. Il a toutefois souligné la nécessité de protéger « la société et l'économie des États-Unis » contre des restrictions sur la mise en valeur des ressources pétrolières de l'Arctique. « Nous savons que la planète se réchauffe. Nous savons aussi que l'homme est un facteur de ce réchauffement, mais nous ne pouvons pas vous dire jusqu'à quel point », a déclaré M. Kemphtorne le 14 mai. « L'habitat de l'ours polaire est en régression. C'est là, la raison de notre décision. Mais la loi sur la protection des espèces menacées n'est pas le véhicule à utiliser pour faire face au changement climatique de la planète. »

arrow Le président Bush conseille vivement une politique sur les changements climatiques basée sur la technologie (16 avril 2008) . Le président Bush est en faveur d'une politique basée sur la technologie pour ralentir les émissions de gaz à effet de serre qui contribuent au réchauffement de la planète. Ses remarques ont été faites à la veille de la « Réunion des grandes économies » à Paris du 18 au 20 avril où 16 nations leaders discuteront des solutions aux changements climatiques. Les réunions ont été organisées par Bush en septembre 2007 pour stimuler la coopération internationale. "Aujourd'hui, j'annonce un nouvel objectif national: arrêter la croissance des émissions de gaz à effet de serre des États-Unis en 2025", a t-il dit. 

arrow L'engagement mondial des É.-U. envers le changement climatique et la santé publique  (28 mars 2008). Dans le monde entier, la prévalence de certaines maladies et d'autres dangers qui menacent la santé humaine dépend largement du climat, des services de santé publique et d'autres facteurs socio-économiques au niveau local et qui risquent d'être affectés par le changement climatique. Les États-Unis sont en train de collaborer avec des partenaires internationaux dans une gamme variée d'initiatives destinées à mieux comprendre les changements climatiques et leurs conséquences en matière de santé, de manière à mieux faire face aux changements et aux aléas climatiques. Ces activités ont pour but d'améliorer les systèmes de santé des pays, de renforcer les systèmes de surveillance à l'échelle mondiale, d'approfondir la science des changements climatiques et d'intégrer les considérations climatiques dans les programmes de développement durable. Voici quelques exemples des activités financées par les États-Unis.

arrow La Californie se fixe des objectifs ambitieux en matière d'énergie renouvelable (15 février 2008) Les participants à un sommet sur l'énergie en Californie se sont engagés à créer davantage d'emplois dans le secteur des sources renouvelables d'énergie et à développer les programmes de formation et d'information aux niveaux de l'État, des villes et des communautés. « Les participants, qui représentaient un large éventail socioéconomique, étaient issus principalement des quatre secteurs d'énergie renouvelable et du monde de la technologie verte. » Des décideurs, des éducateurs, des investisseurs, des chefs locaux et des membres de « collectivités mal desservies » qui peuvent « motiver ceux qui ne sont pas encore sensibilisés sur les sources d'énergie renouvelables » ont également participé au sommet. | Une société de Floride veut remplacer les combustibles fossiles par une énergie propre | Le Minnesota accélère la recherche de sources renouvelables d'énergie

Chine

Corée du Nord

arrow Mme Rice se félicite de l'appui des Chinois à la dénucléarisation de la Corée du Nord (26 février 2008).  Les États-Unis se félicitent des progrès réalisés vers l'élimination des armes nucléaires de la péninsule coréenne, mais la Corée du Nord doit encore s’acquitter de son engagement à publier un inventaire complet de ses programmes nucléaires. Les dirigeants chinois ont accepté d'user de leur influence auprès des responsables nord-coréens à cet égard. « Les États-Unis et la Chine vont continuer d'œuvrer de concert et de coopérer avec les autres membres des pourparlers à six afin d'achever cette étape et de s'acheminer vers la prochaine phase de la dénucléarisation », a déclaré la secrétaire d'État, Mme Condoleezza Rice, qui se trouvait à Pékin le 26 février. Elle effectue actuellement une tournée dans trois pays d'Asie orientale qui s'achèvera au Japon le 28 février. | L'Orchestre philharmonique de New York s'est produit en Corée du Nord

Cour pénale internationale

Cuba

arrow Les États-Unis sont prêts à aider les Cubains à connaître la liberté (20 février 2008)  La décision de Fidel Castro de renoncer au pouvoir devrait offrir au peuple cubain l'occasion de chercher à instaurer la démocratie, et les États-Unis sont prêts à aider Cuba à réaliser cette possibilité, a déclaré le président Bush le 19 février, alors qu'il faisait une visite officielle dans cinq pays d'Afrique subsaharienne. « La communauté internationale, a-t-il dit, devrait œuvrer de concert avec le peuple cubain en vue de commencer à mettre en place les institutions qui sont nécessaires à la démocratie. Cette transition devrait aboutir à des élections libres et honnêtes, et je dis bien libres et honnêtes et non pas le genre d'élections orchestrées que les frères Castro tentent de faire passer pour des élections démocratiques. » C'est le peuple cubain qui a le plus souffert du temps de Fidel Castro, et cette nouvelle période devrait donc être pour lui le début de la transition à la démocratie. « Il y aura un jour un débat intéressant, a dit M. Bush. Certains diront qu'il faut encourager la stabilité, et bien entendu, pendant ce temps, les détenus politiques moisiront dans les prisons, et la situation de la population demeurera pitoyable dans de nombreux cas. » 

Défense

arrow Les États-Unis sont résolus à créer d'autres partenariats en matière de sécurité (15 avril 2008) . Les diplomates et les militaires des États-Unis œuvrent de concert d'une nouvelle manière pour aider les États amis et alliés à mieux protéger leur territoire, à améliorer les moyens d'existence de leur population et à consolider la sécurité régionale. « Il s'agit de renforcer les capacités de nos partenaires non seulement avec les forces armées, mais aussi, par exemple, leurs capacités de fournir des soins médicaux, de lutter contre le sida et de scolariser les enfants. Si un gouvernement démocratique ne fournit pas ces services, il ne conservera pas longtemps le pouvoir », a dit la secrétaire d'État, Mme Condoleezza Rice, le 15 avril devant la commission des forces armées de la Chambre des représentants. Elle était accompagnée du ministère de la défense, M. Robert Gates, et du chef de l'état-major interarmées, l'amiral Michael Mullen. Tous les trois se sont déclarés d'avis que la solution des problèmes de sécurité du monde actuel exigeait beaucoup plus qu'une action militaire. « Par le passé, a dit M. Gates, il y avait un degré raisonnable de certitude quant aux lieux où les forces armées américaines risquaient de devoir faire face à des menaces. Ce que les vingt-cinq dernières années nous ont montré, c'est que ces menaces peuvent surgir partout dans le monde. »

Détenus

 

Développement

arrow Les manifestations contre la flamme olympique illustrent le droit à la dissension (9 avril 2008).  DeLes manifestations organisées le 9 avril à l'occasion du passage de la flamme olympique à San Francisco s'inscrivent dans les meilleures traditions américaines de la dissension pacifique. La Constitution des États-Unis assure aux citoyens le droit d'exprimer pacifiquement leurs vues. Reflétant cet idéal, le président du Comité olympique des États-Unis, Peter Ueberroth, a souligné dans une déclaration faite le 7 avril que San Francisco offrait « une tribune pour l'expression pacifique des opinions et notamment de l'opposition » à l'attitude que manifeste la Chine, pays hôte des jeux Olympiques de 2008, envers les droits de l'homme en général et la liberté de la presse en particulier, ainsi qu'à sa politique à l'égard du Tibet, de la Birmanie et du Soudan.

arrow M. Bush débloque 200 millions de dollars au titre de l'aide alimentaire d'urgence (15 avril 2008) . Face à l'aggravation de la crise alimentaire dans le monde, le président Bush a décidé, le 14 avril, d'augmenter de quelque 200 millions de dollars l'aide alimentaire d'urgence des États-Unis et de contribuer ainsi à la réduction de l'instabilité politique dans certains pays. Le communiqué de presse que la Maison-Blanche a diffusé à ce sujet indique que « cette aide alimentaire supplémentaire servira à faire face aux effets de l'accroissement des prix des produits de base sur les programmes américains d'aide alimentaire d'urgence et à satisfaire les besoins non prévus dans ce domaine en Afrique et ailleurs ». M. Bush a demandé au ministre de l'agriculture, M. Ed Schafer, de débloquer ce montant du Bill Emerson Humanitarian Trust, qui est un fonds d'affectation pour l'aide alimentaire d'urgence dans les pays en développement. Cette aide sera distribuée par l'intermédiaire de l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID).

arrow Prochaine ouverture de la Conférence internationale sur l'aide alimentaire (10 avril 2008) . La Dixième Conférence internationale annuelle sur l'aide alimentaire va se tenir du 14 au 16 avril à Kansas City (Missouri). Organisée par le ministère de l'agriculture des États-Unis et par l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), cette conférence permettra aux participants de débattre de questions relatives à la livraison et à la distribution de l'aide alimentaire. Elle portera sur divers sujets dont le projet de loi américain de 2008 sur l'agriculture, les négociations de l'Organisation mondiale du commerce, les tendances de l'offre et de la demande en matière d'aide alimentaire, l'aide d'urgence et l'aide au développement, l'alimentation et la gestion de la chaîne d'approvisionnement. | Le président de la Banque mondiale prône une nouvelle politique alimentaire mondiale

Discours sur l'Etat de l'Union

Droits de l'Homme

arrow Les États-Unis sont prêts à aider les Cubains à connaître la liberté (20 février 2008)  La décision de Fidel Castro de renoncer au pouvoir devrait offrir au peuple cubain l'occasion de chercher à instaurer la démocratie, et les États-Unis sont prêts à aider Cuba à réaliser cette possibilité, a déclaré le président Bush le 19 février, alors qu'il faisait une visite officielle dans cinq pays d'Afrique subsaharienne. « La communauté internationale, a-t-il dit, devrait œuvrer de concert avec le peuple cubain en vue de commencer à mettre en place les institutions qui sont nécessaires à la démocratie. Cette transition devrait aboutir à des élections libres et honnêtes, et je dis bien libres et honnêtes et non pas le genre d'élections orchestrées que les frères Castro tentent de faire passer pour des élections démocratiques. » C'est le peuple cubain qui a le plus souffert du temps de Fidel Castro, et cette nouvelle période devrait donc être pour lui le début de la transition à la démocratie. « Il y aura un jour un débat intéressant, a dit M. Bush. Certains diront qu'il faut encourager la stabilité, et bien entendu, pendant ce temps, les détenus politiques moisiront dans les prisons, et la situation de la population demeurera pitoyable dans de nombreux cas. » 

Economie et Commerce

arrow Un économiste belge renommé considère la mondialisation dans son contexte historique (28 janvier 2008).  Selon un des grands spécialistes mondiaux de l'histoire économique, le professeur Herman Van der Wee (Belgique), la mondialisation est un nouveau terme pour un phénomène qui se produit depuis des siècles. Lors de la conférence intitulée « La mondialisation économique dans le miroir de l'histoire » qu'il a donnée le 17 janvier à la Bibliothèque du Congrès à Washington, M. Van der Wee a indiqué que la mondialisation en Europe avait commencé du temps de la Grèce antique et de Rome et qu'elle avait abouti à l'intégration des marchés du bassin méditerranéen et de l'Europe du Nord-Ouest. Cette mondialisation prit fin avec les invasions germaniques de l'Empire romain, a-t-il dit en soulignant sa volonté de faire porter sa conférence uniquement sur l'Europe.

arrow Les pays jouissant d'une grande liberté économique figurent parmi les plus prospères (25 janvier 2008).  Les pays et territoires qui encouragent la liberté économique sont plus susceptibles de connaître la prospérité que ceux qui l'entravent, indique un rapport préparé pour le compte du quotidien financier The Wall Street Journal et du groupe de réflexion de tendance conservatrice Heritage Foundation. Selon l'indice de liberté économique de ce rapport, il existe une forte corrélation entre la liberté économique et les bons résultats économiques d'un pays ainsi que les possibilités économiques ouvertes à sa population. Publié ce mois-ci, le rapport du Wall Street Journal et de la fondation Heritage classe 157 pays et territoires en fonction de 10 mesures de liberté économique : création d'entreprise, politique commerciale, budgétaire et monétaire, investissements, secteur financier, liberté syndicale ainsi qu'intervention de l'État, droit de la propriété intellectuelle et corruption.

Elections 2008

arrow Le débat relatif au discours du candidat à la présidence sur la race se poursuit (3 avril 2008).  Barack Obama ne cesse de faire parler de lui depuis qu'il a fait acte de candidature à la présidence des États-Unis. En particulier, son discours sur les relations raciales aux États-Unis a lancé, parmi les politologues de la télévision, les rédacteurs d'éditoriaux, les blogueurs et le public des conversations importantes qui ne sont pas près de se conclure. | Le discours de M. Barack Obama sur les relations raciales aux États-Unis | Audiodiffusion : la diversité du peuple des États-Unis | Le système des délégués vise à confier le pouvoir d'investiture au peuple

arrow Victoires à l'arraché d'Hillary Clinton et de John McCain dans le New Hampshire (9 janvier 2008).  En nombre sans précédent, les électeurs du New Hampshire se sont rendus aux urnes, le 8 janvier 2008, et ont surpris les observateurs, en cette première élection primaire en vue de l'investiture à l'élection présidentielle, en accordant la préférence à la candidate démocrate Hillary Clinton et au candidat républicain John McCain. Tous les sondages, ou presque, donnaient Mme Clinton perdante au matin du 8 janvier face au sénateur de l'Illinois Barack Obama qui avait remporté l'Iowa la semaine précédente. Contre toute attente, Mme Clinton l'a emporté de quelque deux points de pourcentage sur son principal rival.

« Je me présente devant vous ce soir le cœur gonflé d'espoir. Je remercie tout spécialement les électeurs du New Hampshire, a dit Mme Clinton. Au cours de la semaine passée, je vous ai écoutés et ce faisant j'ai trouvé ma propre voix. Donnons maintenant à l'Amérique entière ce genre de retour en force que le New Hampshire m'a insufflé. »

Revue électronique: · La longue campagne : les élections de 2008 aux États-Unis Revue Electronique: La longue campagne : les élections de 2008 aux États-Unis  Le présent numéro d'eJournal USA offre au lecteur une introduction aux élections de 2008 aux États-Unis. Dans le cadre de ces élections, l'électorat américain aura à choisir un président et un vice-président, des représentants au Congrès et des responsables locaux. Dans certains États, il devra se prononcer sur des questions diverses par voie de référendum. Cette revue décrit certains aspects particuliers de ces élections et comprend un débat sur l'utilité du Collège électoral.

Energie et Environnement 

arrow Kurt Volker souligne les défis américains et européens à relever concernant l’énergie, le Moyen-Orient, l'idéologie terroriste (6 mai 2008). Je tiens également à mentionner deux défis d’importance qui, je le crois, vont définir les évolutions dans le monde pour les années à venir. Il est essentiel que la communauté transatlantique se rassemble pour faire face à ces défis à long terme. Le premier est la question de l'énergie, dans toutes ses dimensions. Le deuxième défi d’importance concerne une idéologie de l'extrémisme violent qui déforme l'Islam, abuse de jeunes gens, attaque la vie des gens et des communautés à travers tout le Moyen-Orient, et attaque les idéaux démocratiques et les communautés à travers le monde.

G-8

Grippe Aviaire

Guantanamo

Immigration

Irak

arrow L'envoi des renforts en 2007 a remis l'Irak sur la bonne voie, dit M. Bush (11 avril 2008) . L'amélioration de la situation en Irak en matière de sécurité traduit, selon le président Bush, « un grand changement d'ordre stratégique » qui permettra aux Irakiens de continuer de faire des progrès dans les domaines politique et économique. « Notre tâche dans la période à venir, a dit M. Bush, consistera à nous tenir aux côtés du gouvernement irakien alors qu'il fera des choix difficiles et qu'il assumera la responsabilité d'assurer la sécurité et l'avenir du pays. Il est clair que nous sommes sur la bonne voie. » La déclaration du président le 10 avril a fait suite à deux journées pendant lesquelles l'ambassadeur des États-Unis en Irak, M. Ryan Crocker, et le commandant des forces de la Coalition, le général David Petraeus, ont présenté un rapport sur la situation en Irak devant deux commissions du Sénat et deux commissions de la Chambre des représentants. Ils ont qualifié de « fragiles et réversibles » les progrès réalisés en Irak depuis l'envoi en 2007 de 30.000 soldats américains supplémentaires afin d'aider les Irakiens à chasser les extrémistes et à ouvrir la voie aux réformes politiques, à la reconstruction et au développement économique.

arrow L'ambassadeur des É.-U. et le général Petraeus font état de progrès en Irak  (8 avril 2008).  Des progrès importants ont eu lieu en Irak au cours des sept derniers mois, mais ils ont été inégaux et très lents, et il reste encore des problèmes immenses à résoudre, a déclaré l'ambassadeur des États-Unis en Irak, M. Ryan Crocker. « Le maintien de ces progrès, a-t-il ajouté, exigera que les États-Unis continuent de faire preuve de détermination. Ce que l'on a réalisé est important, mais c'est aussi réversible. » M. Crocker et le général David Petraeus, qui est à la tête des forces de la Coalition en Irak, ont pris la parole le 8 avril devant la commission sénatoriale des forces armées et ils devaient aussi s'exprimer plus tard dans la journée devant la commission sénatoriale des affaires étrangères. Il est également prévu qu'ils paraissent le 9 avril devant les commissions des forces armées et des affaires étrangères de la Chambre des représentants.

arrow La stratégie de renfort a contribué à relancer la vie politique et économique en Irak (28 mars 2008).  L'accroissement en 2007 des forces américaines en Irak a aidé les Irakiens à améliorer la sécurité et à relancer la vie politique et économique. Il a également rapproché les États-Unis d'une victoire stratégique contre l'extrémisme et le terrorisme, a déclaré le président Bush lors du discours qu'il a prononcé le 27 mars, dans le Musée national de l'armée de l'air en Ohio. C'étaient là les grands objectifs du renfort lorsque M. Bush a décidé d'envoyer en Irak 30.000 soldats et marines de plus. Toutefois, depuis décembre 2007, l'armée américaine retire progressivement de ce pays 5 brigades aptes au combat. La possibilité d'une nouvelle réduction des forces deviendra plus claire lorsque le commandant en chef des forces américaines en Irak, le général David Petraeus, soumettra son rapport en avril et qu'il répondra, avec l'ambassadeur des États-Unis, M. Ryan Crocker, aux questions du Congrès

arrow Des vidéos montrent le recrutement d'enfants par Al-Qaïda en Irak (22 février 2008) Al-Qaïda s'est mis à recruter de jeunes garçons, dont certains n'ont que 11 ans, pour les entraîner à enlever et à tuer, ont affirmé de hauts porte-parole militaires tant irakiens qu'américains lors d'une conférence de presse tenue le 6 février à Bagdad. Dans cinq enregistrements vidéo saisis lors d'une descente effectuée en décembre 2007, on peut voir une vingtaine de garçons, dont la plupart ne paraissaient pas avoir plus de 11 ans, portant des armes automatiques et des grenades, en train de prendre d'assaut des logements dans le cadre d'exercices d'enlèvement et d'assassinat, puis s'asseyant en un cercle pour chanter leur allégeance à Al-Qaïda.

arrow Les équipes de reconstruction facilitent la réconciliation entre les Irakiens (8 janvier 2008).  Peu à peu, la présence des membres des vingt-quatre équipes américaines chargées de la reconstruction en Irak, qui travaillent en étroite collaboration avec la population et vivent au sein même de celle-ci, rend aux Irakiens confiance en l'avenir, les encourage à la réconciliation, et les incite à rejeter les groupes extrémistes qui sévissent dans leur pays.

Après avoir participé le 8 janvier à une téléconférence avec les chefs de ces équipes, le président Bush a fait valoir que, parallèlement au renforcement des effectifs militaires américains et à l'intensification des opérations ciblant les terroristes et les milices, ces dernières jouaient un rôle essentiel dans la nouvelle stratégie mise en œuvre par les États-Unis pour rétablir la stabilité en Irak. 

Iran

arrow M. Bush cherche en Europe à renforcer les sanctions contre l'Iran (10 juin 2008). Lors du Sommet États-Unis-Union européenne qui a eu lieu en Slovénie, les participants se sont entendus sur une proposition visant à renforcer les sanctions contre l'Iran, notamment au niveau des activités de son secteur bancaire, afin de le forcer à limiter son programme nucléaire. « Un groupe de pays peut envoyer un message clair aux Iraniens, et le voici : nous allons continuer de vous isoler (...) Nous concevrons de nouvelles sanctions si nécessaire, si vous continuez de faire la sourde oreille à la juste exigence du monde libre, qui vous demande de renoncer à votre programme d'enrichissement nucléaire », a déclaré M. Bush lors d'une conférence de presse organisée à l'issue du Sommet. « Il est temps de mettre en œuvre une diplomatie de fermeté. »

arrow M. Bush fait état d'un accord croissant au Moyen-Orient au sujet de l'Iran (19 mai 2008).  La réalisation de progrès en vue de la conclusion d'un accord de paix entre les Israéliens et les Palestiniens a été le sujet dominant du voyage du président Bush en Israël, en Arabie saoudite et en Égypte. M. Bush a également fait état d'un accord croissant entre les chefs d'État de ces pays et d'autres pays arabes sur la menace que l'Iran faisait peser sur la paix et la sécurité.  « L'Iran est la cause de graves inquiétudes, étant donné que le Hezbollah (qu'il soutient) est en train de déstabiliser le Liban, que le Hamas (qu'il soutient) tente d'empêcher la création d'un État palestinien et que l'Iran intervient en Irak », a-t-il dit à l'issue de ses entretiens avec des chefs d'État lors du Forum économique mondial du Moyen-Orient qui s'est tenu à Charm el-Cheikh le 18 mai.

Islam aux Etats-Unis

IT

Kosovo

Liberté de la Presse

Liberté Religieuse

Libye

Loterie de visas

Médias

Moyen-Orient

arrow Liban : les États-Unis se félicitent de la conclusion de l'accord de Doha (21 mai 2008). L'initiative prise par la Ligue arabe en vue de mettre fin à la violence au Liban et de faciliter la formation d'un gouvernement d'unité nationale et l'élection d'un nouveau président après dix-huit mois d'impasse est une bonne nouvelle, a déclaré le secrétaire d'État adjoint aux affaires proche-orientales, M. David Welch, lors de la conférence de presse qu'il a donnée au département d'État le 21 mai. « Les États-Unis, a-t-il ajouté, continuent cependant d'apporter leur soutien aux autorités légitimes au Liban, notamment au gouvernement et à ses forces de sécurité. »

arrow M. Bush réaffirme son soutien à la création d'un État palestinien (19 mai 2008).  Après des dizaines d'années de souffrances, les Palestiniens méritent d'avoir leur propre État, et les États-Unis sont fortement en faveur de la création d'un État palestinien reposant sur le droit et la justice sociale, a déclaré le président Bush lors du discours qu'il a prononcé le 18 mai, à l'occasion du Forum économique mondial du Moyen-Orient qui s'est tenu à Charm el-Cheikh (Égypte). « Un accord de paix est dans l'intérêt des Palestiniens, dans l'intérêt d'Israël, dans l'intérêt des États arabes et dans l'intérêt du reste du monde », a-t-il affirmé en ajoutant qu'il était un grand partisan de la solution de deux États.| Une conférence sur les investissements en Palestine se tient à Bethléem du 21 au 23 mai | Un nouveau fonds public et privé cible en faveur des femmes musulmanes

arrow Le président Bush apporte son optimisme au Proche-Orient (14 mai 2008). Soixante ans après la création d'Israël, le président Bush a exhorté les Israéliens, qui se sont dotés du régime démocratique le plus dynamique du Moyen-Orient, de renouveler leur engagement en faveur de la paix au Proche-Orient dans le même esprit. « Les Américains et les Israéliens peuvent être fiers de leur passé, et la meilleure façon de rendre hommage à leurs pères fondateurs est de poursuivre la tâche qu'ils ont commencée », a-t-il déclaré à son arrivée à Tel-Aviv le 14 mai, dans le cadre d'un voyage qui l'amènera aussi en Arabie saoudite et en Egypte. En dépit de nombreux problèmes, les négociateurs israéliens et palestiniens ont fait des progrès depuis la conférence d'Annapolis (Maryland) sur la paix au Proche-Orient que les Etats-Unis avaient organisée à la fin de 2007, a indiqué le conseiller du président pour la sécurité nationale, M. Stephen Hadley. Ils ont fait porter leurs efforts sur les mesures propres à renforcer la confiance entre les deux camps ainsi que sur la consolidation de l'économie et des institutions politiques du futur Etat palestinien. | Les É.-U. appuient les dirigeants démocratiques au Moyen-Orient

arrow Kurt Volker souligne les défis américains et européens à relever concernant l’énergie, le Moyen-Orient, l'idéologie terroriste (6 mai 2008). Je tiens également à mentionner deux défis d’importance qui, je le crois, vont définir les évolutions dans le monde pour les années à venir. Il est essentiel que la communauté transatlantique se rassemble pour faire face à ces défis à long terme. Le premier est la question de l'énergie, dans toutes ses dimensions. Le deuxième défi d’importance concerne une idéologie de l'extrémisme violent qui déforme l'Islam, abuse de jeunes gens, attaque la vie des gens et des communautés à travers tout le Moyen-Orient, et attaque les idéaux démocratiques et les communautés à travers le monde.

arrow Les exportations des É.-U. vers les pays arabes ont atteint de nouveaux sommets en 2007 (2 avril 2008) . Selon la National U.S-Arab Chamber of Commerce (NUSACC), les exportations américaines vers les pays arabes atteignent de nouveaux sommets du fait de la politique commerciale américaine, de la faiblesse du dollar et des liquidités accrues de la région causées par la flambée des prix du pétrole. « En matière de ventes au Moyen-Orient, les exportations américaines battent tous les records », a déclaré David Hamod, président et directeur général de la NUSACC. « Une partie de ce succès s'explique par le soutien que le gouvernement Bush accorde aux biens et aux services américains sur les marchés étrangers. » En 2007, les exportations américaines vers les pays arabes ont dépassé les 42 milliards de dollars, contre 35 milliards en 2006, et il prévoit qu'elles devraient passer à plus de 50 milliards en 2008.

arrow M. Bush : un accord de paix israélo-palestinien peut et doit se réaliser d'ici à la fin 2008 (10 janvier 2008).  J'ai fait comprendre, tant au premier ministre Olmert qu'au président Abbas, que des progrès devaient être réalisés sur quatre plans parallèles. Premièrement, les deux parties doivent respecter les engagements qu'elles ont pris en vertu de la « feuille de route ». Deuxièmement, les Palestiniens doivent construire leur économie et leurs institutions politiques et de sécurité. Pour ce faire, ils ont besoin de l'aide d'Israël, de la région, et de la communauté internationale. Troisièmement, j'ai réitéré ma reconnaissance à l'égard de la Ligue arabe pour l'initiative de paix qu'elle a mise en avant, et j'ai demandé à tous les pays arabes de tendre la main à Israël, une démarche qui n'a que trop tardé.

Quatrièmement, les parties doivent s'atteler à la négociation. J'ai exhorté les deux dirigeants à s'assurer que leurs équipes négocient sérieusement, dès aujourd'hui. Je soutiens fermement la décision qu'ils ont prise de continuer à se réunir au sommet régulièrement, parce que ce sont eux, j'en suis convaincu, qui peuvent, et doivent, prendre l'initiative.

Je partage avec ces deux dirigeants la vision de deux États démocratiques, Israël et la Palestine, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité. Ils croient tous deux qu'une telle issue est dans l'intérêt de leurs peuples et sont résolus à négocier une solution pour y arriver. | MM. Bush et Peres partagent une vision commune de paix au Proche-Orient

Les Nations unies

11 septembre

OSCE

 

OTAN

arrow L'élargissement de l'OTAN n'est pas dirigé contre la Russie (11 septembre 2008).  L'élargissement de l'OTAN après la fin de la guerre froide n'était pas dirigé contre la Russie, déclare un haut responsable américain. "L'élargissement de l'OTAN visait à atteindre l’émergence d'une Europe unie, libre et en paix - l'ensemble de l'Europe, pas seulement sa moitié occidentale», a déclaré le secrétaire d'État adjoint Daniel Fried. "En concevant le nouveau rôle de l'OTAN pour le monde de l'après-guerre froide, les États-Unis et les alliés de l'OTAN ont cherché à promouvoir les relations OTAN-Russie aussi loin que les Russes l’ont permis."

arrow La réunion au sommet de l'OTAN s'est terminée par la prise de divers engagements (7 avril 2008). Pendant leur réunion au sommet à Bucarest (Roumanie), les chefs d'État et de gouvernement des États membres de l'OTAN ont traité de sujets importants qui ne se limitent pas à l'acceptation de l'adhésion de deux nouveaux États membres, l'Albanie et la Croatie. Ils ont réaffirmé leur engagement durable en faveur de l'Afghanistan en adoptant un plan stratégique politico-militaire, qui a reçu également l'approbation de leurs partenaires contribuant à la Force internationale d'assistance à la sécurité dans ce pays. Ils se sont engagés à équiper d'ici à 2012 les forces armées afghanes. Plusieurs pays ont également fait diverses offres. La France entre autres s'est engagée à envoyer un bataillon en Afghanistan.

arrow L'OTAN accueille deux nouveaux États membres : l'Albanie et la Croatie  (3 avril 2008). Les chefs d'État ou de gouvernement des 26 États membres de l'OTAN ont voté à l'unanimité en faveur de l'adhésion de l'Albanie et de la Croatie à leur organisation, décision qui, selon le président Bush, encouragera la cause de la liberté et de la sécurité en Europe. « Ces deux pays, a dit M. Bush, ont montré qu'ils étaient capables et désireux d'apporter une contribution importante et durable à l'OTAN. L'Albanie et la Croatie sont prêtes à s'acquitter des obligations découlant de leur adhésion à l'OTAN et elles seront des membres remarquables de notre alliance. » | OTAN : M. Bush est en faveur de l'adhésion de l'Ukraine et de la Géorgie

arrow L'OTAN contribue à garantir un avenir empreint de liberté, dit M. Bush (2 avril 2008) . Composée d'États démocratiques, l'OTAN a contribué à faire de l'Europe un continent qui est uni, libre et en paix, mais ses membres doivent continuer d'œuvrer de concert en vue de relever les défis du XXIe siècle en matière de sécurité, a déclaré le président Bush lors du discours qu'il a prononcé le 2 avril à Bucarest (Roumanie), la veille de l'ouverture de la réunion au sommet de cette organisation.
« L'OTAN, a-t-il dit, n'est plus une alliance statique visant à défendre l'Europe contre une invasion de chars soviétiques. C'est maintenant une alliance qui envoie des forces expéditionnaires à travers le monde afin de contribuer à garantir un avenir empreint de liberté et de paix pour des millions de personnes. « Les prochaines journées constitueront une période de grand labeur, alors que les alliés prendront des décisions relatives à l'élargissement de l'OTAN, à ses missions et à ses moyens. Elles constitueront aussi une période de réflexion, une occasion de considérer ce que nous avons accompli depuis sept ans et ce que cela nous indique au sujet des défis à venir. »

arrow Le président Bush s'apprête à assister au sommet de l'OTAN à Bucarest (27 mars 2008).  La déclaration de son conseiller pour la sécurité nationale.  On trouvera ci-après des extraits de la déclaration que le conseiller pour la sécurité nationale du président Bush, M. Stephen Hadley, a faite le 26 mars et que la Maison-Blanche a diffusée le lendemain au sujet de la participation de M. Bush à la réunion au sommet de l'OTAN, qui a lieu cette année dans la capitale de la Roumanie. (Début des extraits) Le président et Mme Bush se rendront en Europe pour participer à la réunion au sommet de l'OTAN. Ce sera la sixième et dernière fois que M. Bush assistera à une telle réunion... 

arrow Les enjeux de l'OTAN en Afghanistan sont importants (25 janvier 2008).  Il est nécessaire que la communauté internationale, notamment l'OTAN, apporte une contribution importante pour faciliter la progression de l'Afghanistan sur la voie qui lui permettra de réaliser les objectifs prévus. La coalition des forces des États-Unis, de l'OTAN et de l'Afghanistan œuvrent avec diligence pour faire face aux talibans et pour assurer la sécurité tout en encourageant des changements dans des domaines allant de l'enseignement à la lutte contre la corruption. Les forces de la coalition et leurs partenaires non gouvernementaux sont conscients du fait que la réussite en Afghanistan exige aussi bien la sécurité que le développement et la bonne gouvernance. Leur grand objectif est de faire en sorte que ce pays puisse se prendre en charge et qu'il ait un gouvernement représentatif. C'est pourquoi le sommet de l'OTAN qui doit avoir lieu en Roumanie en avril comprendra une réunion élargie qui portera sur les progrès enregistrés en Afghanistan, sur les moyens d'y faire face aux problèmes et sur les objectifs à y atteindre en 2013.

Peine de Mort

Politique Etrangère

arrow M. Bush présente ses priorités pour sa dernière année en fonctions (28 janvier 2008). « Notre politique étrangère se fonde sur un principe bien clair : la conviction que les peuples choisiront un avenir de liberté et de paix, pour peu qu'on leur en donne la chance », a affirmé le président Bush dans son ultime discours sur l'état de l'Union, prononcé le 28 janvier 2008 devant le Sénat et la Chambre des représentants réunis en séance plénière. Pourtant, « des terroristes et des extrémistes » résolus à « assujettir des millions d'êtres humains à leur joug violent » s'opposent à cette progression de l'humanité vers la liberté, a-t-il ajouté. Selon Mme Dana Perino, porte-parole de la Maison-Blanche, M. Bush a décidé de centrer son discours sur sa foi dans le pouvoir qu'ont la liberté et la justice d'améliorer la vie des peuples du monde entier. Ainsi, il devait réaffirmer l'appui des États-Unis à la recherche d'une solution « à deux États » du conflit israélo-palestinien, ainsi qu'au redressement politique et économique de l'Irak et de l'Afghanistan après des décennies d'oppression et de conflit. M. Bush souhaite également augmenter les programmes d'aide à l'étranger afin d'aider les pays en développement à tirer parti des bienfaits de la démocratie. | Le discours 2008 du président Bush sur l'état de l'Union

arrow La conférence de presse de fin d'année de la secrétaire d'État (21 décembre 2007).  Je pense que, dans l'ensemble, l'année 2007 a été une bonne année pour la politique étrangère des États-Unis, mais je soulignerai que le progrès que nous avons accompli a été le résultat d'une diplomatie soutenue au cours de plusieurs années. Nous avons de redoutables défis à relever, mais que cela n'occulte pas un fait plus profond et plus significatif, celui que je voudrais vous communiquer aujourd'hui. L'engagement des États-Unis dans le monde actuel se définit non seulement par nos défis, mais aussi par les occasions qui se présentent à nous de contribuer à bâtir un avenir où plus d'hommes et de femmes que jamais dans l'histoire de l'humanité vivront dans la paix, la prospérité et la liberté.

Les Américains restent un peuple généreux et idéaliste. Durant la dernière année de notre mandat, nous continuerons à nous servir de la puissance des États-Unis pour promouvoir les grandes causes qui sont les nôtres. | L'ordre de priorité des États-Unis pour 2008 en matière de politique étrangère

Primauté du Droit

Protection des Consommateurs

 

Relations US-EU

arrow M. Bush estime que sa tournée européenne est vitale (9 juin 2008). Le président Bush considère son ultime tournée en Europe comme le moment idéal de remercier les alliés qui ont soutenu les États-Unis en Afghanistan et en Irak durant les moments les plus tumultueux de sa présidence. C'est également une occasion de susciter un renouvellement des engagements envers des causes qui touchent le monde entier. « Les pays que je vais visiter ont des troupes en Afghanistan et je tiens, bien entendu, à les remercier, mais aussi à leur rappeler qu'il y a beaucoup de travail à faire », a déclaré M. Bush, le 9 juin, avant son départ pour Ljubljana (Slovénie), où il participera au Sommet États-Unis-Union européenne à Brdo, non loin de la capitale.

 Les pourparlers sur l’aviation entre les États-Unis et l’Union Européenne ouvrent des perspectives d’élargissement de marchés (27 mai 2008). Les États-Unis veulent négocier un accord multilatéral qui faciliterait les investissements transfrontaliers dans des compagnies aériennes. Cette idée a été suggérée par la délégation américaine pendant le premier tour de la deuxième étape des négociations États-Unis- Union Européenne sur la libéralisation des services aériens qui a eu lieu en Slovénie début mai.

Russie

arrow Le discours de Mme Rice sur les relations américano-russes (18 septembre 2008) Au German Marshall Fund, la secrétaire d'État préconise la fermeté à l'égard de la politique agressive de la Russie. "Ce qui est plus inquiétant au sujet de l'action de la Russie, c'est qu'elle s'inscrit dans le cadre d'un comportement qui ne cesse de s'aggraver depuis plusieurs années. Je veux parler entre autres de l'intimidation par la Russie de ses voisins qui sont des États souverains… de son emploi du pétrole et du gaz naturel comme arme politique… de sa suspension unilatérale du traité sur les forces armées classiques en Europe… de sa menace de viser des États en paix au moyen d'armes nucléaires… de ses ventes d'armes à des États et à des groupements qui menacent la sécurité internationale… et de sa persécution, voire pire, de journalistes russes, de dissidents et d'autres personnes. Il ressort de cette forme de comportement l'image d'une Russie qui est de plus en plus autoritaire sur son territoire et de plus en plus agressive à l'étranger.

Sécurité Intérieure

SIDA

La Société américaine

La dernière nouveauté: Revue électronique du département d'État, Janvier 2008La dernière nouveauté: Revue électronique du département d'État, Janvier 2008 L'innovation est l'art de créer quelque chose de nouveau et chaque jour, aux États-Unis et dans le monde, des scientifiques, des étudiants et de simples citoyens s'efforcent d'offrir au monde une idée bien à eux. Ce numéro de eJournal USA raconte l'histoire des innovateurs et de leurs créations.
 

arrow Les jeunes lisent de moins en moins les journaux (21 février 2008).  La plupart des quotidiens des grandes villes vont disparaître au cours des 20 prochaines années et seront réinventés par le truchement de l'Internet et autres nouvelles formes de médias, ont affirmé plusieurs experts en journalisme au rédacteur d'America.gov. Paul Gillin, rédacteur et consultant en médias spécialisé dans les sujets relatifs à la technologie de l'information, pense que seuls quatre ou cinq grands quotidiens survivront, notamment le Washington Post, le New York Times, le Wall Street Journal et USA Today, parce qu'ils ont judicieusement investi dans la distribution nationale afin d'obtenir plus de lecteurs. Si M. Gillin pense que les grands quotidiens américains continueront d'offrir des informations précieuses, leur modèle d'exploitation ne survivra pas parce que l'économie n'évolue pas en leur faveur. Il veut dire par là que les grands quotidiens enregistrent de lourdes pertes financières du fait de leur important personnel composé de rédacteurs, de concepteurs, d'imprimeurs et de responsables de la circulation.

arrow Le Mois de l'histoire afro-américaine rend hommage aux défenseurs des droits civiques (31 janvier 2008).  Chaque année en février, le Mois de l'histoire afro-américaine évoque les luttes et les triomphes de millions d'Américains face à de terribles obstacles - à savoir l'esclavage, les préjugés et la pauvreté -, et leurs contributions à la vie culturelle et politique des États-Unis. 2008 sera la 82e année de la célébration de l'histoire afro-américaine depuis que Carter G. Woodson, un célèbre historien, a institué la Semaine de l'histoire des Noirs en 1926. Il avait choisi la deuxième semaine de févier afin que cela coïncide avec les anniversaires d'Abraham Lincoln et de Frederick Douglass. | Proclamation du président Bush sur le Mois de l'histoire afro-américaine

arrow Les universités américaines cherchent à accroître la diversité de leurs étudiants (29 janvier 2008).  Encourager la diversité des étudiants et créer un climat favorable aux étudiants membres de minorités et aux étudiants étrangers constituent de plus en plus une question prioritaire pour les établissements universitaires des États-Unis qui offrent des études de deuxième et troisième cycles. C'est ainsi que l'université de la Virginie a reçu récemment un prix national pour son nouveau programme destiné à favoriser la diversité de ses étudiants de deuxième et troisième cycles. « Nous savons que le fait d'avoir des étudiants de divers milieux et origines favorise la diversité des idées, ce qui constitue à notre avis un élément important dans le domaine de la recherche », a indiqué le vice-président de la recherche et des études de deuxième et troisième cycles de l'université de la Virginie, M. Ariel Gomez. Ses services ont mis sur pied un programme pilote de mentorat pour les étudiants de deuxième et troisième cycles de divers milieux et origines.

Terrorisme et Sécurité

 

arrow M. James Glassman évoque le recours à la persuasion pour lutter contre le terrorisme (9 juin 2008). Si l'on veut mettre fin à la traite des êtres humains et aux formes modernes d'esclavage, il faut réduire la demande de main-d'œuvre bon marché et de services sexuels. C'est ce qu'a affirmé, le 4 juin, la secrétaire d'État Condoleezza Rice, lors d'une conférence de presse organisée à l'occasion de la publication du huitième Rapport du département d'État sur la traite des personne.

arrow De nombreux pays s'unissent pour prévenir des attaques nucléaires terroristes (10 juin 2008). La plupart des gens préfèrent ne pas penser à la menace du terrorisme nucléaire. Mais le député de Californie Adam Schiff, qui a créé un groupe parlementaire mixte sur la sécurité nucléaire, est d'avis que refuser de voir le problème ne va pas le faire disparaître. Il soutient les efforts déployés par les chefs d'État pour tenter d'envisager les scénarios les plus catastrophiques. Ces dirigeants, bien entendu, souhaitent avant tout prévenir une attaque nucléaire. Faute de mieux, ils veulent être prêts à réagir à une catastrophe.

arrow La communauté internationale a gagné du terrain sur le terrorisme en 2007 (9 mai 2008).  Les progrès réalisés en 2007 par la communauté internationale contre les cellules terroristes soulignent la nécessité de poursuivre une stratégie complexe, globale et collective de lutte contre le terrorisme. « En coopérant avec nos alliés et partenaires du monde entier, nous avons créé un climat moins accueillant pour les terroristes, forcé leurs chefs de file à se cacher et réduit leurs capacités de planifier et de monter des attaques », a déclaré le coordonnateur de la lutte antiterroriste du département d'État, M. Dell Dailey, le 30 avril, à l'occasion de la publication du Rapport sur le terrorisme dans le monde en 2007. Ce rapport annuel, conçu conjointement par le département d'État et le Centre national de lutte contre le terrorisme (NCTC), fournit au Congrès des informations sur les progrès réalisés dans la lutte contre Al-Qaïda et autres groupes considérés comme terroristes par les États-Unis.

arrow Kurt Volker souligne les défis américains et européens à relever concernant l’énergie, le Moyen-Orient, l'idéologie terroriste (6 mai 2008). Je tiens également à mentionner deux défis d’importance qui, je le crois, vont définir les évolutions dans le monde pour les années à venir. Il est essentiel que la communauté transatlantique se rassemble pour faire face à ces défis à long terme. Le premier est la question de l'énergie, dans toutes ses dimensions. Le deuxième défi d’importance concerne une idéologie de l'extrémisme violent qui déforme l'Islam, abuse de jeunes gens, attaque la vie des gens et des communautés à travers tout le Moyen-Orient, et attaque les idéaux démocratiques et les communautés à travers le monde.

Traite des Personnes

arrow Introduction du Rapport 2008 du département d'État sur la traite des personnes (4 juin 2008). Le département d'État est légalement tenu de soumettre tous les ans au Congrès un rapport sur les efforts déployés par les gouvernements étrangers pour éliminer les pires formes de la traite des personnes. Le présent rapport est le septième de la série. Il a pour but de sensibiliser l'opinion mondiale, de souligner les efforts de la communauté internationale et d'encourager les gouvernements étrangers à prendre des mesures efficaces pour lutter contre toutes les formes de traite des personnes. La législation américaine qui guide les efforts de lutte contre la traite des personnes, la Loi de 2000 sur la protection des victimes de la traite (TVPA) telle que modifiée, précise que l'objet de cette lutte est de punir les trafiquants, de protéger les victimes et de prévenir la traite. Libérer ceux qui sont dans une situation de quasi-servitude est le but ultime de ce rapport - et de la politique américaine de lutte contre la traite.

La traite des personnes est une menace multiple : elle prive les individus de leurs droits et de leurs libertés, elle augmente les risques sanitaires à l'échelle mondiale et elle alimente la croissance de la criminalité organisée.

arrow La réduction de la demande est la clé de l'endiguement de la traite des personnes (5 juin 2008). Si l'on veut mettre fin à la traite des êtres humains et aux formes modernes d'esclavage, il faut réduire la demande de main-d'œuvre bon marché et de services sexuels. C'est ce qu'a affirmé, le 4 juin, la secrétaire d'État Condoleezza Rice, lors d'une conférence de presse organisée à l'occasion de la publication du huitième Rapport du département d'État sur la traite des personnes.

UNESCO

Vieillissement des Populations

 

 

Embassy of the United States